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Réforme ??? Réflexions d'un religieux

Réforme ??? Réflexions d'un religieux

Réforme ??? 144 réflexions d'un religieux de Martinique

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Après la scène du calvaire, un pieux docteur jeûnait.

Il avait enseigné de la loi, ce qui plaisait.

Très perplexe devant le Christ Messie d’Israël,

Il déplorait la dureté des soldats cruels.

Même dans sa prospérité, sa paix s’était retirée.

En pensant au Christ, il se sentait interpellé.

Voyant sa vigne, il pensait à Naboth le fidèle,

Ce vigneron lapidé par Achab et Jézabel…

Christ a dit: Vous payez la dîme et fuyez la droiture; (1)

Il pensait à son gros trésor scellé dans un mur.

Revoyant: Acan, Balaam, tous de Dieu serviteurs,

Mais séduits par l’argent, ils périrent dans le malheur.

Christ leur a dit: Vous n’avez pas gardé la justice.

Ils exigeaient que le peuple apporte les prémices;

Mais leur gestion, gardée secrète était épargnée.

Nicodème redoutait les fruits de sa cupidité. (2)

Christ leur a reproché l’absence de miséricorde;

Or, la miséricorde est l’aumône que l’on accorde.

En la gardant, cette iniquité nous rend distingué.

Le Christ privé de tout bien n’était qu’un méprisé.

Qu’importe, si les mendiants meurent de faim dans les rues;

Si l’orphelin et la veuve sont la proie des sangsues…

Notre plaisir de prêtres est dans  la libéralité ;

Nous commercialisons: savoir, Dieu et éternité… (3)

Christ leur a dit: Vous méprisez la fidélité!

Sa conscience désapprouve sa propre prospérité;

Nos biens sont pour le Christ une peste purulente;

Il est notre adversaire... Nous réveillons sa violence!

Il nous a enlevé notre paix, notre dignité…

Il nous a maudits devant cette foule de dépouillés;

Nous n’aurons plus jamais notre prestige national; (4)

Sur nous est tombé le ciel; nous sommes voués au mal!

Nous nous sommes écartés à droite en violant le droit des pauvres;

En gardant les prémices nous nous sommes perdus sur la gauche.

   «Mais… Moi et ma maison, nous servirons l’Eternel;

Mieux vaut l’exil que l’orientation d’Israël…

Je quitte ce sanhédrin souillé de sang, romanisé.

Vers ses disciples j’irai! Mon trésor, je le donnerai…

Je change de camp! A la suite du Christ, je marcherai…

Tout donner pour sa cause vaut mieux que la dignité

Par laquelle on exclut tous les envoyés du ciel.

Le Messie me donnera une naissance spirituelle.

Je change mon masque de riche propriétaire,

Contre celui du nouveau né qui n’a que sa  Mère.

Je n’ai que le Christ… Car personne n’est monté au ciel,

Si ce n’est celui qui est descendu du ciel… (5)

Et qui seul peut donner la vie éternelle... Le Messie d’Israël!

 

(1) Mt 23. 23   ;   (2) Lc 16. 14   ;   (3) Lc 18. 18-30   ;   (4) Mt 23   ;   (5) Jn 3. 13

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1

Le jour de l’an, les amis vous souhaitent beaucoup de prospérité.

Pourtant, ce désir en Eden a triomphé de notre humanité.

Cette aspiration a pénétré tous les fibres de notre être,

Depuis, nous vendons Dieu ainsi que nos âmes pour paraître.

Posséder, acquérir, au mépris de toute justice et droiture,

Telle est la jouissance prédominante qui triomphe de notre nature. (1)

Quand les juifs dispersés ont prouvé qu’ils étaient supérieurs,

Dans la maîtrise de l’économie et des sciences pécuniaires,

Le Führer a savamment préparé leur extermination.

Ce génocide a bouleversé l’intelligence des nations.

Comment le peuple saint de l’Alliance, tous enfants d’Abraham,

Pratiquant le jeûne, la prière, la louange et le sabbat,

A pu connaître une telle détresse par une persécution meurtrière?

Pourquoi le destin s’est-il retourné contre les prospères?

Les réponses se trouvent dans la sainte Alliance du Deutéronome.

Chaque allié choisit son destin… Se place dans l’une des deux colonnes.

Il n’y a pas de mystère dans ce triomphe total du mal;

L’Alliance définit les effets à long terme d’une gestion illégale. (2)

L’autre danger spirituel qui menaçait le peuple jadis saint,

Est la liberté de prospérer après le rejet du Messie Divin. (3)

La Sainte Alliance présente des actes aux conséquences éternelles:

L’attachement aux biens fait des distingués, des statues de sel. (4)

Le disciple Judas a préféré un sauveur placé dans sa bourse.

Balaam, le cupide, s’est enrichi vers la fin de sa course.

La prospérité financière de Guéhazi se trouve dans sa besace,

Mais, avec la lèpre de Naaman transférée à sa race.

En se libérant du droit social prescrit contre la misère,

Plusieurs ont été privés de pain dans les prisons du Führer.

La justice, un jour publiera les crimes secrets de la prospérité;

Les grosses tumeurs bancaires formées par des cellules entêtées. (5)

La rébellion fatale est souvent définie dans le livre saint,

Comme une passion qui consiste à tirer profit du Divin. (6)

Par la prédication de ce qui attire les êtres dégénérés,

On transmet les germes de l’égoïsme à la race condamnée. (7)

Le peuple de l’Alliance, ayant rejeté le droit comme sacrifice,

Gardait de la sainte Alliance juste assez pour tromper la justice:

Le jeûne, la prière, la louange, l’hygiène et le Sabbat.

Or, sans justice ni droiture, on est nu dans la chambre à gaz.

La prospérité par laquelle Noé fut un héritier :

De la vie, de la divine protection et du monde entier,

Est l’intégrité, la justice et la droiture de cœur.

Il sacrifiait fidèlement le droit prescrit par le Créateur.

De même que la fumée ne peut produire d’eau pour le sol altéré,

Le cœur naturel s’oppose à toutes formes de libéralité.

Le dernier four bientôt allumé sera notre atmosphère.

Les coffres forts seront brûlés...  Cause de toutes les misères. (8)

Tout oeuvre qui plaît aux yeux des mortels sera calcinée.

Les «Faux Christ» lucratifs feront place au Grand Juge indigné.

«Qui de nous pourra rester  auprès d’un feu dévorant?

Qui de nous pourra rester auprès de flammes éternelles?

Celui qui marche dans la justice et qui pratique la droiture.

Qui méprise les gains acquis par abus de confiance. (9)

Rassemblez moi mes fidèles qui ont fait alliance par le sacrifice,

Et les cieux publieront sa justice, car c’est Dieu qui est Juge». (10)

 

(1) Ap 3. 17-18   ;   (2) Dt  28. 15-68   ;   (3) Lc 23. 28-29   ;   (4) Gn 19. 25-26   ;   (5) Ps 49   ;   (6) Ha  2   ;   (7) 2Tm. 4.1-5   ;     (8) 1 Tm 6. 10   ;   (9) Es  33. 13-15   ;    (10) Ps  50. 1-6

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Frappé brutalement par plusieurs deuils et la perte de ses biens

Job fut plongé dans l’angoisse, le désespoir et le chagrin.

Privé de ses enfants chéris et de tous ses serviteurs,

Il était blessé à mort, accablé par les pires malheurs.

Tout en étant hanté par les forces sataniques,

Il se fortifiait en celui qui contrôle les forces cosmiques.

Rampant et gémissant dans les décombres de son tabernacle

Il fut attaqué par un ulcère de la peau incurable.

Souffrant nuit et jour et troublé par des visions d’épouvante,

Il inspirait l’effroi et semblait descendre vers les lieux du silence.

Seuls lui restaient les habits célestes que ne portent pas les pécheurs,

Sans lesquels, les vivants sont nus devant le Créateur.

Job revêtait la justice, et s’en servait comme vêtement ;

Il avait sa droiture pour manteau et pour turban. (1)

Dépourvu de santé et de biens, il était habillé. (2)

Eprouvé dans sa chair, mais vainqueur dans son âme épurée.

La richesse qui ne peut se transmettre comme bien d’héritage,

Est celle acquise,  quand il avait l’abondance en partage. (3)

La justice des prémices obtenue par le sang des holocaustes,

La droiture par la dîme sociale donnée en aumône aux pauvres. (4)

Après l’examen de sa foi, Dieu satisfait, le visita.

L’Eternel rétablit Job, heureux dans son premier état,

Et lui donna le double de tout ce qu’il avait perdu. (5)

Dieu à misé sur Job et le diable accusateur a été vaincu.

Aussi fabuleuses que soient les offrandes de l’humanité,

Si elles ne symbolisent pas les « prémices » qui a été crucifiés,

Elles constituent des veaux d’or, dépourvus du sang expiatoire.

Caïn fut le premier à offrir les produits de son terroir.

Sans la justice des prémices et la droiture en dons sociaux,

Nous habitants de la terre, serons nus comme des asticots

Devant ce tribunal où toutes les gestions sont analysées. (6)

Mammon cherche des volontaires avides à déshumaniser.

Des séducteurs  du monde ont une justice fantôme à proposer :

Il suffit seulement de croire pour être sanctifié et glorifié ;

La justice de Christ nous assure notre entrée dans la cité !

Il n’y a pas de loi ni de sacrifice pour les justifiés !

Un jour ils sauront, combien d’âmes ils ont éternellement perdues,

Et quel colossal butin, ils ont de leur vocation obtenu.

Job était intègre, juste et droit non par doctrine religieuse ;

Mais il faisait de l’Alliance une application minutieuse. (7)

C’est ici le roc sur lequel sa construction fut inébranlable.

Hors de cette Alliance notre destinée est fondée sur le sable.

   Chrétiens de la fin des temps… Le bilan sera bientôt là.

Les anges investigateurs sonderont toute oeuvre par la loi.

L’analyse des acquis se fera par le logiciel de l’Alliance.

Tout caractère édifié sur la poursuite de l’abondance,

Ecartant la loi, et s’adaptant à la convoitise matérielle,

Sera emporté. L’Alliance ne distingue pas le haut de l’échelle. (8)

Ce n’est pas la puissance financière qui a fermé la gueule des lions,

Durant les deux séjours pendant lesquels Daniel fut en prison. (9)

Les quatre compagnons furent justes et droits parmi plusieurs millions.

Fidèles jusqu’à la mort ! Telle était leur commune résolution.

Mourir dans la justice et la droiture, telle était leur invisible couronne,

Devant laquelle s’inclina le tyran, dominateur des hommes.

« Voici, je viens comme un voleur. Heureux celui qui veille et qui garde ses vêtements,

Afin qu’il ne marche pas nu et qu’on ne voit pas sa honte ». (10)

 

(1) Jb 29. 14   ;   (2)  Ap 3. 4  - (3, 4) Jb 31 - Jb 1. 4-5   ;   (5) Jb 42. 10   ;   (6) Jude 11   ;   (7) Dt 28   ;   (8) Am 7. 7-9  ;                       (9) Dan. Grec   ;   (10)  Ap 16. 15

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Ce qui arriva du temps de Noé, arrivera de même au jour du Fils

de l’Homme ; Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient

et mariaient leurs enfants jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ;

Ils ne se doutèrent de Rien ; Alors, le déluge vint et les fit tous périr.

(1) Les enfants d’Adam avaient une longévité incomparable ;

Encore semblables à Dieu, toute l’humanité était admirable.

Nos ancêtres, à la stature géante vivaient près de mille ans.

Mais le souvenir du paradis perdu révoltait tous ces gens.

Leur violence se manifestait par le rejet des droits prescrits ;

Ils recherchaient le profit en administrant le cheptel sans prémices.

Or, défier la Loi consiste à entrer en guerre contre le Créateur.

Sans le sang expiatoire, on fait régner les esprits corrupteurs.

Ils n’étaient pas tous des tueurs, mais méprisaient tous le droit social,

Se faisaient un honneur de méconnaître cette libéralité légale.

Or, les anges mauvais dominent tout cœur avide et méchant,

Où l’intelligence se dévoue, toujours dans le but de sortir gagnant.

Supposons des familles réunies pour le sacrifice mensuel des prémices ;

Des paroles et des prières se succèdent jusqu’à la tombée de la nuit ;

Puis, les officiels se retirent, emportant les meilleures parties,

Laissant aux adorateurs affamés, les pattes, les têtes et les tripes.

L’image du Créateur transmise par ces premiers sacrificateurs

Répugnait les anges chargés de filmer l’oeuvre de ces profiteurs.

Ce qui arriva du temps de Noé est la victoire de l’égoïsme,

Qui semblait plus avantageux que de faire preuve d’altruisme.

Méconnaître sciemment le droit prescrit dans toute valeur créée,

Est la science du mal que Dieu a qualifié de méchanceté.

C’est aussi l’une des subtiles acquisitions appelée abomination.

A Noé, qui n’est pas tombé dans ce piège, fut donnée la création.

Ce qui arriva du temps de Sodome, arrivera de même…

Voici quel a été le crime de Sodome, elle vivait dans l’abondance,

Mais ne soutenait pas la main du malheureux et de l’indigent. (2) 

Gagnée par l’avarice, elle faisait de ses serviteurs, des mendiants.

La richesse pourrie est celle qui incube la rétention de l’iniquité.

L’or dont se parent les dealers révèle la ruine mentale des initiés.

La rouille qui témoignera un jour contre les envoûtés du butin,

Est la publication universelle du total terrifiant des iniques gains.

Par stratégie, l’orateur dénonce les contre natures exterminés,

Alors que son crime siège dans la gestion où la justice est profanée.

Si le tronc aux pieds de l’idole indique une poupée qui réclame l’obole,

La sainteté du plâtre inanimé en ferait un distributeur d’aumône.

Il sera, un jour, prouvé par le divin tribunal qui juge la terre,

Que le diagramme de l’égoïsme fixera la honte du chiffre d’affaire.

L’oeuvre de l’Esprit Saint est la science qui rétablira le droit,

Et replacera dans le subconscient, le respect de la Sainte Loi.

La puissance de la régénération opérera dans le christianisme,

Quand les ressources légales auront une répartition légitime.

La pratique de la divine justice ne sera jamais un don gratifié,

Mais le constat céleste d’une gestion individuelle purifiée.

La droiture sociale, sera la règle horizontale de cette gestion.

Et la justice, le niveau qui contrôlera l’équilibre de l’abnégation. (3)

       « Ce qui est arrivé du temps de Noé, arrivera de même »…

Car chaque acteur réalise son film en épargnant les biens du domaine.

Mais, 144000 prémices qui sont les térébinthes de la justice

Porteront le sceau et seront gardés par les anges de la milice.

Alors, paraîtra le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs,

Qui enlèvera de la mondiale fournaise ses élus vainqueurs.

Que sert-il à un gourou de gagner l’argent du monde s’il perd son âme ?

Quelle sale monnaie donnerait un homme en échange de son âme ?

(1)  Luc 17 : 26-30 ;  (2) Ez 16 : 49 ;   (3) Esa 28 : 17

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Je crie vers mon Dieu : notre Père qui est dans les cieux
Puisque le séducteur intéressé est dans les célestes lieux,

Montre moi par ton Esprit les stratégies lucratives subtiles,

Que jamais je ne percevrais, sans un céleste guide.

Je demande que ton règne vienne dans mon intelligence,

Car j’ai en moi, six mille ans de dégénérescence,

Egoïsme, avidité financière, voracité insatiable, orgueil intégré.

Sans ton divin collyre, je serai comme le riche en enfer et Lazare (1)

Cependant, je désire, avec ton aide, accomplir ta volonté sur terre,

Comme tes serviteurs, les anges qui sillonnent l’atmosphère.

Selon la Loi ... Si un dixième de mon pain appartient à mon frère,

Comme aumône légale pour ceux qui sont dans la misère , (2)

Rends moi capable d’accomplir ce sacrifice d’amour,

Envers tous ceux, proche ou non, dont le destin joue de vilains tours.

Quand je mange, rappelle à ma conscience la Sainte Alliance,

Tes sentences de Deutéronome qui sont les lumières de l’intelligence :

Maudit soit quiconque porte atteinte au droit des indigents.

De l’étranger, l’orphelin et la veuve, le peuple dit: Amen! ... (3)

Maudit est celui qui déplace la borne de son prochain,

Et pour un sale butin, égare l’aveugle religieux sur le chemin.

Une partie de la bonne nouvelle que Christ a donnée aux affamés

Est le don de sa justice et sa droiture en faveur des dépouillés. (4)

Le plus grand honneur conféré aux croyants de la race humaine,

Est la pratique de la sainte loi de Moïse dans tous les domaines.

Une partie du grand amour demandé par Jésus à l’humanité

Est le partage légal et équitable des dons du Dieu d’équité.

C'est l'enseignement des emblèmes non homéopathiques de la Sainte Cène: Chacun reçoit un repas satisfaisant de pain et de vin.

Dans la Bible, le plus grand des péchés qualifié d’iniquité

Est le mépris du droit prescrit, l'acquisition d'argent par cupidité. (5)

Dans les religions, la plus grande abomination contre le Créateur

Est une violation lucrative consciente des lois du Médiateur.

Dans le monde, la plus grande méchanceté contre les misérables:

Le reniement de leur droit social, remplacé par des fables. (6)

Le banquier dit: Le plus grand des crimes religieux contre l’humanité

Est la séquestration systématique de toute libéralité religieuse.

C’est ici l’une des racines du mal universel :

Prendre la subside des pauvres croyants pour un profit personnel.

Si la justice et la droiture ne pénètre pas la gestion des centimes,

La folie des soldes gravée sur l'âme en fera de nombreuses victimes.

Seigneur, pardon! Incapable de faire le bien, j’implore l’aide divine,

Pour ma nature égoïste, envoûtée par le capitalisme bancaire,

Mais appelée par Dieu à être purifiée, blanchie, épurée. (7)

Fais de moi Seigneur, un tison arraché du feu des acquisitions !

Un élu instruit, pratiquant les lois de la Sainte Alliance.

Un des prémices du Christ qui collabore avec les anges,
Pratiquant la bienfaisance dans un monde sans remords,

Adeptes du solaires, Héritier de «Jéroboam» fabriquant de veaux d’or… Profanant les jours sacrés, les Sabbats et les fêtes lunaires.

Dans ma gestion, garde-moi de la folie de me croire propriétaire,

En accumulant, comme font les riches le peu de biens que je gère.

Si la bienveillance et la justice sont les premiers fruits de l’Alliance,

Donne-moi ce respect et cette pratique dans la gestion de mes finances.

Seigneur redoutable! Refaçonne mon âme par l’exercice de l’équité,

Et guéris-moi des astuces lucratives et doctrines de la cupidité.

« Quiconque donnera seulement un verre d’eau froide

A  l’un de ces petits parce qu’il est mon disciple,

Je vous le dis en vérité, il ne perdra point sa récompense ». (8)

 

(1) Ap 3. 14-22   ;   (2) Hé 13. 16   ;   (3) Dt  27. 19   ;   (4) Es  42. 21-25   ;   (5) Mt  25. 41-46   ;   (6) Mt 23. 14   ;   (7) Dn. 12.10   ;   (8)  Mt. 10. 42

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1 

Les trois fils de Noé peuplèrent toutes les nations.

A la tour de Babel, Dieu  fit la mondiale dispersion.

Aux descendants de Sem fut donnée l’Europe vierge.

Ses enfants, la race blanche, devinrent puissants et fiers..

A Japhet furent données les terres de l’Extrême-Orient.

Ses enfants, la race jaune vit une croissance permanente.

La bénédiction de Noé comble la postérité,

Accorde le bien-être à tous les yeux bridés.

Les noirs, fils de Cham, peuplèrent les rives de l’Euphrate.

Ils bâtirent Babylone et vénérèrent le Zodiaque,

L’astrologie, science qui annule toutes les lois perpétuelles. (1)

Par ces sciences spirites, ils se dressèrent contre l’Eternel.

Reniant la division du temps lunaire génésiaque,

Ils imposèrent progressivement aux nations des lois idolâtres : (2)

Le dimanche consacré au roi, appelé « Bel ou le soleil » ; (3)

Lundi à la lune, Astarté nommée :  « Reine du ciel » ; (4)

Mardi à Mars, sanguinaire fétiche représentant des guerriers ;

Mercredi à Mercure, Fétiche favorable aux tyrans aventuriers ;

Jeudi à Jupiter, « Fétiche » de la terrestre sagesse conquérante ;

Vendredi à Vénus, déesse de la vie sensuelle appelée aphrodite ;

Samedi à Saturne, gros monstre des saisons froides.

Dont le ventre est une fournaise pour des sacrifices humains.

Ainsi est née le calendrier solaire, nouvelle apostasie mondiale ; (5)

La domination astrologique du spiritisme par le grégorien ;

La perversion des consciences idolâtres, vouées au paganisme. (6)

Les idoles du solaire imposèrent aux rois l’esprit de conquête

Par lequel ils prirent le contrôle sanguinaire de toute la planète. (7)

Guerres, massacres, pillages, colonisation jusque au bout de la terre,

Les Rois tyranniques se parent de l’or volé lors des guerres.

L'ancienne domination solaire et astrologique de Babylone,

Est celle d'où est sortie la Madone qui pille jusque aux atomes. (8)

La croix utilisée depuis, première lettre de Tammuz, est l’instrument

Par lequel Astarté (Sémiramis) livrait ses opposants aux tourment.

Le nom de chaque jour grégorien est un hommage à un astre,

Ce programme de l’armée des cieux est contre le Sabbat génésiaque.

Dans la coupe solaire de Babylone remplie d’abomination,

L’idolâtrie mondiale met la loi et les jours lunaires en profanation.

Son impudicité est toutes doctrines lucratives mensongères,

Où des poupées sculptées sont des déesses que l’on vénère. (9)

L’astrologie et ses fêtes solaires par laquelle le monde a été vaincu,

Est également la future domination que devront subir les perdus.

Alors, on verra paraître la puce de l’intolérance: (666)

Par laquelle des millions de chrétiens seront privés de finances. (10)

Le Créateur dit: «Sortez de Babylone, mon peuple,

Fuyez ses péchés et vous éviterez ses fléaux…»

«Ses trésors pillés sont comptabilisés jusque au ciel»… (11)

La destruction régnera dans tous royaume solaire.

Sortez du joug de la profanation des fêtes et Sabbats d'Israël,

Où Baal impose un ensemble de jours, semaines profanes.

Sortez du système astrologique de la Madone assise sur la Bête !

Le sabbat lunaire est signe de l’Alliance perpétuelle avec l’Homme.

Sur l’ordre de Dieu, fuyez Babylone comme le fit Abraham,

Et vous trouverez dans l'adoration le repos de vos âmes. (12)

Sortez de Babylone, fuyez du milieu des Chaldéens !

Avec une voix d’allégresse, annoncez le, publiez- le,

Faites le savoir jusque à l’extrémité de la terre. (13)

L’astrologie contre les lois lunaires, c’est l’éternelle guerre.

 

(1)   Ap 18. 1-3   ;   (2) 2 R  23. 5   ;   (3) Dt  17. 2-7   ;   (4) Jr  7. 17-20   ;   (5) Gn 11   ;   (6) Ap 17   ;   (7) Ap  18. 1-3   ;                (8) Jr 50   ;   (9) Ap 18. 1-5   ;   (10) Ap  1 3. 11-18   ;   (11) Jc  5. 1-6   ;   (12) Mt 11. 28. 30   ;   (13) Es.48. 18. 22

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Avant la fondation du monde, Dieu, voyant une grande souffrance,

Par la guerre de conquête et les effets de la désobéissance,

A publié pour le bonheur d’Israël, une loi grande et magnifique. (1)

Par elle, les élus feraient abonder la vie par le sacrifice,

Et recevraient l’approbation divine. Ce fut le cas de Noé,

Seul à pratiquer, lui et sa maison, les lois de l’éternité. (2)

Le témoignage lui fut rendu: « Noé trouva grâce face au Créateur ;

Il était intègre, juste et droit.» La justice faisait son honneur.

Il pratiquait les deux commandements prescrits par la justice.

Noé prouvait son amour pour Dieu par l’offrande des prémices,

Loi éternelle représentant le Sauveur de l’humanité.

De son autel, coulait le sang expiatoire qui efface les péchés.

Le dixième de son cheptel était consacré aux sacrifices.

La foi dans le Créateur les préservait de l’extension du vice.

Le Messie moderne, une invention du colonialisme,

Est une denrée précieuse de l’industrie du mercantilisme. (3)

Ses érudits écrasent son peuple et oppriment son héritage, (4)

Prêchent ce qui soulage la démangeaison que l’on a en partage.

Noé était un homme droit. Il pratiquait la sainte équité ;

Or, le droit équitable est  une dîme consacrée aux affamés.

Dépourvu d’avarice, il soutenait les pauvres sans nourriture ;

Prenait soin des victimes de violence qui erraient dans la nature.

L’opposition à ces lois consiste à égorger l’indigent ;

Assassiner les orphelins et laisser mourir les mendiants. (5)

La théorie d’une justice gratuite qui renie cette science,

Est un appât des colons, qui hypnotisent la conscience. (6)

Noé se distinguait par l’obéissance au milieu des nations.

Sa famille restait attachée aux saintes lois de la rédemption.

Les élus de la fin seront des vainqueurs, prémices pour Dieu ;

Des saints irrépréhensibles purifiés par le Christ glorifié. (7)

Des humains qui font droit aux affamés par libéralité,

Et soutiennent par l’aumône les victimes de la cruelle société.

Le feu et l’eau purifieront le monde des richesses abominables,

Des hommes chargés d’argent qui causent des souffrances incurables.

Dieu pulvérisera leurs palais construits avec le sang des pauvres.

Leurs squelettes seront des fossiles autour de leurs coffres forts.

Comme aux temps de Noé, il en sera de même au jour du Fils de l’Homme,

Car ils renieront le Christ «prémices» et mépriseront l’aumône. (8)

La honte atteint le Créateur par le commerce des célestes valeurs,

Sont appelés bénédictions, les dépôts bancaires des trompeurs.

Le mépris du droit dans un centime est un volcan dans un capital.

Sa nuée destructrice sera dévoilée par le divin tribunal. (9)

Nous vivons les temps de la fin. La nature manifeste sa colère.

Des producteurs empoisonnent les peuples par avidité financière.

Déjà, la terre par ses convulsions révèle sa révolte contre le mal.

   Quand les anges sonderont les affaires individuelles et nationales

Trouveront-ils des humains qui pratiquent la droiture et la justice ?

Un reste des enfants de Noé qui seront pour Dieu des prémices ?

Qui ont rejeté le mensonge et devenus en Christ irrépréhensibles ? (10)

Qui sont passés de la mort à la vie par respect du droit infaillible ?

« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur,

De toute ton âme, de toute ta force et de toute ta pensée,

Et tu aimeras ton prochain comme toi même ; Fais cela et tu vivras ». (11)

 

(1) Es 42. 21   ;   (2) Gn. 6. 8-9   ;   (3) Ml. 2. 1-9  -  Mt  24. 4-5   ;   (4) Ps  94. 5   ;   (5) Ps 94. 6   ;   (6) Za  7. 8-14   ;                          (7) Ap 14. 4-5   ;   (8) Es  33   ;   (9) Jr 5. 20 - 31   ;  (10) Ap. 14. 4- 5   ;   (11) Lc 10. 25-28

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1

Nos ancêtres cherchaient Dieu dans la perfection visuelle.

Soumis aux esprits, ils s’adonnaient à plusieurs rituels,

D’après leur perception, le diable serait un affreux macaque,

Mais Dieu, par contre, une perfection, une beauté de la face.

Lorsqu’ils ont été vendus et transportés en bateaux,

Nus dans des cales infectes, sans nourriture et sans eau,

Ils ont découvert des dieux armés, tous monstrueux,

Parfaits en beauté, vêtus mais sanguinaires et furieux.

Arrivés au port, survivants parmi les morts , lassés,

Ils voyaient des nobles vêtus, tendre des liasses épinglées,

Remplissant des sacs avec ces billets mystérieux,

Se disputant pour l’acquisition de ces malheureux.

Toutes ces affreuses cruautés se déroulaient autour des liasses.

La vie humaine est une marchandise pour les rapaces.

Des êtres magnifiques, créés à l’image du bon Dieu,

En présence de l’argent, deviennent des monstres religieux.

Leur passion pour la monnaie leur donne des vies à détruire,

Réduisant leurs subordonnés en machines à produire.

Toutes les voies sont utilisées pour le transport des sacs.

Sans cette idole, l’enfer n’existerait pas pour ces races.

Comment une liasse, valeur sans charme, souvent sale et froissée,

Peut-elle à ce point, transformer des créatures sensées,

En monstre masqués, gardant une apparence angélique,

Mais insensible à toute douleur humaine et physique ?

Par quelle super puissance une liasse sans âme, parvient-elle

A se multiplier par la vente des valeurs éternelles ?

Comment le Nom de Dieu s’associe-il à sa croissance ?

Et la foi, un terreau qui multiplie son existence ?

Si une liasse était une des mille créations divines,

Elle fleurirait dans les champs comme fruit naturel des centimes.

Mais Dieu crée la vie. Les liasses la dévorent dès l’embryon,

Par le génie des esprits qui enrobent les possessions.

Si des millions de croyants ne pratiquent pas l’aumône légale

C’est que l’envoûtement des possessions est sans rivale.

Celui qui vaincra en Christ cette puissance universelle,

L’aura affrontée comme un ennemi attaqué en duel.

La prédication qui fait extraire des sacs de la famine,

Et des liasses d’un pays pauvres est une fausse doctrine. (1)

Le Christ qui s’est fait pauvre, serait-il aujourd’hui pilote,

Transportant par LAtécoère le trésor de la Madone ?

La gloire du Créateur voilée par l’accumulation des centimes,

Resplendira quand ils seront une arme contre la famine.

« Tes ténèbres spirituelles seront comme l’éclat du midi, » (2)

Quand tu donneras le dixième de ton pain aux démunis.

Dieu cherche des réparateurs de brèche pour restaurer

Les ruines de la sainte loi prescrite en faveur des pillés. (3)

Si l’absence de droiture produit des ossements desséchés, (4)

La libéralité légale redonnera la victoire sur le péché.

Si la vérité populaire rapporte une pyramide de pièces,

C’est par la folie d’une gestion qui s’oppose à la sagesse.

Une créature est nouvelle si elle maîtrise la monnaie, (5)

Et ne bâtit pas son caractère sur un fondement bancaire.

La vérité authentique libère l’âme du charme financier.

Sans valise, le Christ fera passer les siens dans l’éternité. (6)

Si le feu tord le métal, l’argent façonne les agents du mal. (7)

L’enfer fabriqué pour les autres sera leur destinée infernale.

Le ciel s’ouvrira devant ceux qui sont façonnés par Jésus Christ.

 

(1) Jb 24   ;   Mt  23. 14   ;   (2) Es  58. 7-10   ;   (3) Es  58. 12   ;   (4) Ez  37. 1-14   ;   (5) Ap  3. 1-6   ;   (6) Ap  22.11 -21   ;               (7) 1 Tm 6. 6- 21

 

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1

Acquérir le monde, tel était l’objectif de certains rois.

Massacrer des peuples pour s’emparer de leurs territoires ;

Au nom de la couronne, piller les ressources et les biens ;

Transporter en sacs vers le trône, l’argent et l’or des défunts.

Voici les mobiles des tyrans qui firent régner la souffrance.

Suite aux massacres des familles sans armes ni moyen de défense,

Les distingués de la couronne venaient prendre possession

Du vaste butin, jonché de cadavres en décomposition.

Leurs prédicateurs disaient : Le bon Dieu nous a béni…

Il nous a livré ces barbares et accordé ce beau pays.

Ici, nous ferons fortune et connaîtrons la prospérité.

A cette fin, nous irons en Afrique acheter des défavorisés… (1)

Des négriers sans armes qui feront le boulot comme esclaves ;

Le plus cruel des crimes, dont les hommes se sont rendus coupables.

La puissance des armes ajoutée à la cruauté des cœurs,

Il torturèrent des millions d’êtres par de durs labeurs.

La servitude, le fouet, les chaînes, les châtiments exemplaires,

La destruction des malades et des blessés qu’ils liquidèrent.

Les archives célestes révèleront un jour cette cruauté. (2)

Or, par leur prestance, les nobles rivalisent avec les divinités.

Ce sont des princes impeccables, en vêtements et parures coûteuses,

Mais, derrière leur noeud de cravate se cache une âme monstrueuse.

Leur ruse se dissimule dans la manipulation de leur langue.

Par éloquence et noblesse, ils séduiraient même les anges.

Tous, adorateurs de Mammon, ils vénèrent la monnaie souillée. (3)

Leur compte bancaire leur permet de renouveler les négriers,

Acquérir à n’importe quel prix, telle est la passion de leur âme,

Le luxe et la richesse sont les fruits de leurs œuvres infâmes.

Donnant une idée de Dieu associé aux acquisitions,

Beaucoup poursuivent ce vil commerce malgré sa perversion. (4)

Réaliser un gros chiffre d’affaire sans la moindre activité,

Tel est encore l’objectif de ceux qui exploitent l’affamé. (5)

Inculquant à notre race les complexes de la servitude,

Plusieurs, imitent leur prestance pour prouver leur aptitude.

Mimant de tout leur être la personnalité des colons,

Leur succès réside dans la loi des subtiles acquisitions. (6)

Les manipulateurs de l’éloquence qui soignent leur verbe,

Affirment vouloir renier leur origine, la race des nègres.

Sans justice ni humanité, ils perpétuent l’esclavage,

Adoptent le style des riches, se pavanent en voiture de parade.

L’abolition est le fruit d’un décret, mais l’esprit demeure.

Pour le Dieu de la création, « chaque peine mérite son salaire ».

Pour le virus colonisateur ! Tu sèmes et je moissonne. (7)

Avec ton salaire, je garnirai ma terrestre couronne.

La cupidité pernicieuse qui a abreuvé la terre de sang,

Est encore le mobile secret des gourous qui se disent croyants.

« Autant les cieux sont élevés au dessus de la terre,

Autant mes voies sont élevées au dessus de vos voies ». (8)

La subside des pauvres fait des hommes un nuage de sauterelles

Qui transforment la végétation en un désert perpétuel. (9)

   Quand le Christ nous affranchira du désir d’acquisition,

Nous serons réellement libres de la mondiale corruption. (10)

Chut ! Les anges totalisent les énormes acquis de toutes séductions ; (11)

« Nul ne peut servir deux Maîtres, Dieu et le monstre Mammon ».

« Malheur à celui qui fait travailler son prochain sans le payer ». (12)

Il comparaîtra avec son gros butin souillé du sang des âmes pillées. (13)

Le logiciel divin a pour critère : « Chaque peine mérite son salaire ». (Bis)

 

(1)    Am 8. 4-10   ;   (2) Ml. 3. 5-6   ;   (3) Mi 2   ;   (4) Am  6   ;   (5) Hb  2   ;   ((6) Mi  3. 9-12   ;   (7) 2 P 2    ;   (8) Es 55. 8-9  ;

(9) Es  33. 4   ;   (10) Jn 8. 36   ;   (11) Ap 18. 5-8  - Ez. 28. 1- 5 - Es 32. 15. 20   ;   (12) Jér. 22. 13    ;   (13) Mal. 3. 5-6

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Acan a terminé son ministère sous un monceau de pierres.

Combattant de l’Eternel, il se montrait vaillant à la guerre.

Voyant un  beau manteau de Schinéar, de l’argent et de l’or,

Il perdit son contrôle et jugea bon de voler ce trésor.

Choisissant comme banque le sol de sa tente, il cacha son butin. (1)

Or le Seigneur avait dévoué par interdit tous les biens.

L’interdit étant placé sur tout ce qui est consacré,

Cette profanation défiait le décret du chef Josué.

L’autre personnage méprisé était l’Eternel des Armées.

Sa colère se déchaîne quand sa sainte loi est méprisée.

Gagner ou perdre la vie, est lié au respect du sacré.

La vie et la mort découlent des lois qui fixent notre destinée.

Quand notre race, vendue en Eden fut plongée dans le malheur,

Dieu a offert son Fils comme prémices pour sauver des pécheurs.

Sont dévoués par interdit les« prémices » des biens de la terre. (2)

La pratique de ce droit nous a été acquise au calvaire.

Banni par envie, il nous est proposée par l’auteur de la vie :

« Honore l’Eternel avec les prémices de tout ton revenu,

Tes greniers seront remplis d’abondance et tes cuves de moût  ». (3)

La loi des prémices fait régner le Christ partout et en tous.

Est aussi dévoué par interdit le dixième prescrit aux indigents. (4)

Cette dîme est consacrée aux pauvres comme droit social permanent.

Destinée aux affamés, elle est une juste libéralité.

Cette droiture verserait un flot de bénédiction sur l’humanité.

De l’Eden vient le désir de la profanation du sacré.

La méconnaissance des dixièmes consacrés est une iniquité.

L’abomination est le bénéfice acquis par violation du droit.

La mort est la liberté de méconnaître la vie en rapport avec la loi ;

Elle prescrit la justice par le sacrifice dans toute la création.

Toute valeur sans justice sera vouée à l’extermination.

Si la manipulation de l’atome détruit la vie première,

La profanation du sacré exterminera la deuxième.

Ici se trouve la source du mal, la réaction en chaîne,

La perversion de l’âme contre laquelle la justice se déchaîne.

Sans le respect du sacré, le fabuleux compte bancaire

Révèlera un jour, une cupidité opiniâtre du caractère.

Tel un vampire nocturne qui se rassasie du sang des fauves,

Sera le riche insatiable qui a méprisé le droit des pauvres.

Par Lui, comme un linceul, s’est répandue une souffrance mondiale ;

La misère, la famine, fruits de la suppression du droit social.

Dieu ouvrira toutes grandes les portes de la cité céleste,

A ceux qui pratiquent le respect du droit dans les biens terrestres.

En consommant le fruit de l’arbre dévoué par interdit,

Adam et Eve ont été privés de l’accès à l’arbre de Vie.

En gardant pour notre usage le droit prescrit qu’est l’aumône,

Nous faisons revivre les causes de la mort du Fils de l’homme.

Jésus n’a pas versé son sang pour sauver le capitalisme.

La commercialisation des valeurs consacrées est un crime. (5)

Par sa grâce nous accéderons à la pratique des œuvres bonnes,

En administrant nos possessions selon la justice et l’aumône.

« Je ne désire pas la mort de celui qui meure, dit l’Eternel.

Si le méchant revient de tous les péchés qu’il a commis »,

S’il rejette le gain obtenu par violation du droit prescrit ;

« S’il observe toutes mes lois, pratique la droiture (sociale)

Et la justice, il vivra et ne mourra pas.

Car, je ne désire pas la mort de celui qui meurt, dit l’Eternel ». (6)

 

 (1)  Jos  7   ;   (2) 1 Co  15. 22, 23   ;   (3) Pr  3. 8-10   ;   (4) 2 Co  8-9   ;   (5)  Ez. 16. 49- 50   ;   (6) Ez 18. 21-32  - 33. 10-20

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