Les valeurs à partir desquelles les vers s’inspirent
Les deux conditions de salut que Dieu nous propose : Sion (l’église) sera sauvée par la DROITURE et… La JUSTICE. Es 1. 27
Quelles sont les lois de la sanctification qu’Israël devrait mettre en pratique afin de vivre par elles : Ez 20. 11- 13
Tu aimeras Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force... Deut. 6. 5. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Mt 22. 36- 40 ; Jésus rappelle la nécessité de cette pratique : Fais cela et tu vivras. Lc 10. 28
La justification est le fruit d’une croyance en rapport avec l’oeuvre de Jésus, symbolisée (dans l’Ancienne Alliance) par la loi des ordonnances charnelles, (lois qui se rapportent aux sacrifices d’animaux et aux fêtes cérémonielles).
Dans la Nouvelle Alliance la justification s’obtient par la foi : Ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus Christ. Rom. 3. 24
La Pratique de ces deux commandements dans la gestion de tous les biens confirme la sanctification
1) Les prémices, c’est une offrandes consacrée à l’Eternel (Lév. 27. 30-34). Son taux est un dixième de tous les biens de la terre : produits du sol, cheptels, argent et or. (Deut. 26. 1-11) Dans la nouvelle Alliance, cette offrande est destinée à la prédication de l’évangile. (1 Cor 9. 13-14).
2) La deuxième offrande est une dîme sociale, également équivalent à un dixième de tous les biens de la terre. Elle est consacrée au soutien des nécessiteux. (Deut. 26. 12-19 ; 14. 22-28 ; Matt. 25. 31-46). Les autres offrandes sont volontaires et circonstancielles. Elles sont données en fonction de la prospérité ou d’une nécessité particulière. (Deut. 12. 6) La justice que pratiquent les justifiés est étroitement liée au constat d’une gestion légale et équitable.
La vie et la mort : Ces deux commandements, les prémices et la dîme sociale, définissent dans chaque valeur, le bien et la vie, attestés par la gestion ou le mal et la mort confirmés par la violation. C’est également une définition Biblique légale de l’amour de Dieu et du prochain. (Luc 10. 25-28) La gestion est une oeuvre individuelle avant d’être collective. La violation de l’un ou des deux « droits spirituel et social » est une injustice appelée iniquité abominable. Deut. 25. 13-16. Pour Israël, c’est la cause de toutes les malédictions de l’Alliance. (Deut. 27. 17- 26 ; 28. 15- 68). Pour l’église militante, la pratique ou la violation produit une classification appelée criblage (1 Jn 3. 1-10). Si le croyant désobéit, il choisit par là la gestion de Caïen. ( 1 Jn 3. 11-24).
Depuis l’Eden, la pratique honnête de ces lois dans la gestion de tous les biens, fait du religieux, un croyant juste et droit, un homme saint et intègre : Noé, Abraham, Moïse, Daniel, Job. (Ez 14. 12-20).
Il n’y aura pas de salut pour les chrétiens abominables qui gagnent des biens par violation du droit prescrit. (Apoc. 21. 8, 27 ; Prov. 28. 9)
Les synonymes du droit prescrit
Dans toute la Bible, ces deux dîmes confirment la justice et la droiture. (Ez. 18 et 33). Ces deux mots résument le chapitre 26 de Deutéronome. Pour les justifiés, La pratique de la justice dans la gestion se confirme par l’obéissance à ces deux commandements, (Matt 6. 1-4). Le mot droiture se rapporte au dixième consacré à la bienfaisance. La justice, dans la Bible est parfois traduite par : « ce qui est juste ».(Esa 56. 1) La droiture a plusieurs synonymes : Le droit prescrit pour les indigents, l’étranger, l’orphelin et la veuve, (Esa 1. 16. 17). Autres synonymes : l’équité, le bien, la bienveillance, la libéralité, la générosité, le sacrifice, l’aumône, la charité, la miséricorde, la dîme consacrée, etc. ( voir une concordance et plusieurs versions de la Bible)
Nous sommes justifiés pour accomplir de bonnes œuvres : Cette pratique dans la gestion rend possible les bonnes œuvres ou les œuvres justes des saints. (2 Cor. 8 et 9 ; Héb. 13. 16 ; Tite 3 ; Apoc. 19. 7-8).
Être du nombre des méchants est une éventualité redoutable
La rapine, (Ez. 18. 12) ou l’abomination est le gain obtenu par violation de ces commandements. (Deut. 27. 19, 26)
Le méchant ou l’hypocrite, est le religieux qui fraude en violant la justice ou la droiture ; ( Ps 50 ; Mat. 23)
L’injustice et la souillure sont les avantages obtenus par celui qui méprise le droit prescrit. (Apoc. 22. 11)
Le message de Dieu adressé aux peuples appelés est : Observez ce qui est droit (la droiture) et pratiquez ce qui est juste (la justice) Esa. 56. 1 ; Jér. 22. 3. Le tribunal céleste scellera les fidèles qui pratiquent la justice. (Apoc. 22.11)
Dans les lois de la séduction le verbe pratiquer est remplacé par le verbe croire. Ce dernier joue parfois le rôle de la peau de brebis qui masque le loup. Le butin que rapporte le verbe croire est comparable aux pyramides d’Egypte.
Garder les commandements de Dieu, y compris dans la gestion ? (Apoc. 14.12 ; 12. 17)
Les tables de la loi (Exode 20) ne répètent pas les lois de la gestion, mais dénonce leur violation :
Le premier commandement condamne toute cupidité qui est une vénération de Mammon. (Matt. 6. 24) C’est l’expérience de Judas Iscariote. (Jean 6. 70-71)
Le second déclare que Dieu punit l’iniquité des pères sur leurs enfants… La violation familiale de la droiture et la justice. C’est l’expérience des frères de Joseph, fils de Jacob. Quatre générations d’esclavage furent nécessaires pour punir leur conduite criminelle manifestée ouvertement contre leur frère. (Ps 107. 10-22)
Le troisième désapprouve l’utilisation de la religion à des fins égoïstes. C’est l’expérience de Guéhazi. (2 Ro 5. 19- 27)
Le quatrième rappelle l’importance du Sabbat perpétuel dans la gestion du temps.
Le cinquième Souligne la conduite honorable que doivent avoir les enfants qui obéissent à leurs parents. Toute désobéissance aux lois de justice déshonore Dieu et les parents. (Mal. 2) Porte également atteinte à la longévité.
Le sixième rappelle l’Alliance faite entre Dieu, Noé et ses descendants. La loi de la réciprocité du mal. Elle tient les riches responsables de la souffrance et la mort des pauvres par non respect du droit social prescrit. La séquestration de la vigne de Naboth est en miniature identique à celle qui consiste à supprimer le droit des indigents. (1 Ro 21).
Le septième désapprouve tout acte immoral ainsi que l’infidélité conjugal.
Le huitième condamne le recel, le vol ou la séquestration, y compris des prémices et de la dîme sociale: C’est pourquoi Jésus a dit : « Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs »... (Jean 10. 8 ; Zac. 5. 1-4 )
Le neuvième dénonce tout ce qui est faux, mensonger ou ce qui est enseigné contre l’existence du droit des pauvres. (Jér. 5. 20-31)
Le dernier dénonce la convoitise des yeux, de la chair, et également le gain qu’on peut librement obtenir par violation du droit prescrit dans chaque pièce de monnaie : C’est l’expérience d’Acan. Il s’est laissé séduire par l’argent et l’or ( Jos 7).
La loi désapprouve toute violation du droit social en ces termes :
Maudit soit celui qui déplace les bornes de son prochain. Deut. 27.17 (Le droit prescrit est la borne dans la gestion des biens)
Maudit soit celui qui fait égarer un aveugle sur le chemin. Deut. 27. 18 (L’enseignement doctrinal contraire ou insuffisant)
Maudit soit celui qui porte atteinte au droit de l’étranger, de l’orphelin, de la veuve. Deut. 27.19. (Modification intéressée du droit confirmée par le gain)
L’avertissement de Dieu contre la gestion non conforme à la loi: Vous n’ajouterez ou ne retrancherez rien à mes paroles. Deut. 4. 2
Lors du constat de la tromperie collective d’Israël : Dieu dit : Vous me trompez dans les dîmes et les offrandes; La nation toute entière. Mal. 3. 7-12.
La loi
Qu’est-ce que la Loi : Dans la Bible « TOB », sous le terme « La formation du canon des écritures dans le Judaïsme ». Le mot La Tora qui se traduit par « la Loi », désigne les cinq livres de Dieu écrits par Moïse, (appelés le pentateuque) Et non les dix commandements. Ces derniers sont les tables de la loi morale et spirituelle.
Par conséquent, quand l’apôtre Jean écrit : « Le péché est la transgression de la loi » ; Cette parole peut être interprétée ainsi : le péché est la transgression des lois de justice de la Tora… Ou des cinq livres de Dieu, écrits par Moïse. (1 Jn 3.4). Les dix commandements font partie de la Loi.
Quand le prophète Esaïe écrit : A la loi et au témoignage, si l’on ne parle pas ainsi, il n’y aura point d’aurore pour le peuple : (Esa 8. 20- 22). Il n’est pas question ici, seulement des dix commandements. En d’autres termes on pourrait donner cette interprétation : Si les prédicateurs ne conduisent pas le peuple à l’obéissance aux lois de justice du pentateuque, le peuple et ses dirigeants subiront le courroux de Dieu. (Hab. 2; 1Piè. 4 .17 ; Apoc. 3. 14-22 ; Soph. 1. 14-18).
La violation des lois de la gestion est l’axe principal du règne des ténèbres. C’est l’une des initiatives des anges rebelles ( Ez. 28. 15). Cette violation, devenue mondiale justifie la purification du monde par le feu du jugement. (Jér. 25. 15-38) Ce sujet doit être l’une de nos préoccupations vitales. Par un mauvais usage de notre liberté, nous nous opposons à Dieu. (Ps 82)
Le sceau de Dieu
Le sceau de Dieu qui sera apposé sur le front dans (Apoc. 7. 1-4 ) peut comporter 5 termes : -- (1°) l’obéissance aux commandements de Dieu (Apoc. 14. 12) qui se résume par trois mots. -- Fidélité, Justice et Droiture. (Ez 18 ; 33. 16-19) ;. –. (5°) La foi de Jésus. Lors du criblage national mentionné dans Ezéchiel 9, le jugement a commencé par atteindre les prédicateurs parce que, ne pratiquant pas eux même, ils ont caché les clefs de la science du salut qui est l’obéissance totale à Dieu. (Luc. 11. 52) Le péché et la mort règnent par l’iniquité lucrative, quand la loi est ignorée ou n’est pas enseignée par les prédicateurs et les écrivains. ( Matt. 23 ; Amos 3)
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Le juste jugement de Dieu réprouvera tout capital obtenu par la violation du droit social et spirituel dans chaque pièce de Monnaie. Le sceau apposé sur le front des infidèles ne sera pas celui de Dieu. Ps. 94. 5, 15 ; 98. 6-9 ; Apoc. 13. 16-18.
La sagesse.
Un autre mot revêt une importance capitale : La sagesse que David a exaltée par les psaumes 119, 112, et Salomon du temps de sa fidélité, par le livre des proverbes ainsi que la Sagesse, c’est la TORA. Il est écrit : La sagesse c’est le livre des commandements de Dieu, (le pentateuque) c’est la loi qui existe pour toujours ; Tous ceux qui s’attachent à elle iront à la vie, Mais ceux qui l’abandonnent mourront. Baruch 4.1 ; (La Bible TOB) ; voir également Jos 1. 7-8.
La doctrine lucrative sera désapprouvée : Si, par fidélité à une doctrine quelconque, je modifie les lois de la gestion, en les adaptant aux lois du capitalisme sauvage, Dieu me dira : Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres et quiconque aime et pratique le mensonge. Apoc. 22. 15.
Où se trouve la subtilité traditionnelle ? Le terme : La Dîme, (sous-entendu pour les salaires des prédicateurs) la Bible dit que ce sont les prémices (première dîme) et les offrandes volontaires qui doivent être destiner aux prédicateurs. Deut. 26. 1-11 ; Sira 7. 29-36,. Faire du pluriel un singulier est une altération de la vérité. Deut. 12. 32 C’est induire les croyants en tentation. Matt 24. 11 ; Deut. 27.18. Le mensonge développe les germes de l’égoïsme et l’on se perd en désobéissant par ignorance. Refuser de payer les impôts par ignorance volontaire ne met pas fin au travail de comptabilité des ordinateurs d’état. Il est écrit : Ils séduiront beaucoup de gens. Mat. 24. 5
Les lois de gestion dans l’Alliance perpétuelle. Si la mort de Jésus prouve que la loi ne peut être modifiée, les principales offrandes prescrites par la loi sont :
Offrandes des prémices, la dîme « sociale », offrandes pour l’accomplissement d’un vœu, offrandes volontaires, offrandes de récupération, offrandes pour le sacrifice, offrandes d’action de grâce etc. (Deut. 12. 6)
Les produits de l’intelligence intéressée en opposition avec le droit social
• Dieu dit qu’une « doctrine » conçue par des êtres imparfaits, peut-être : la droiture changée en poison et le fruit de la justice changé en absinthe( Am. 6. 12) ; Une violation du droit des pauvres. (Am. 5. 7) Une initiative qui déclenche la colère de l’Eternel (Es. 10. 1-4 ). Un changement de « la Loi » ; (Dan. 7. 25). La gestion de Caïn ! (1 jn 3. 11-24). Avaler le chameau, c’est violer le droit social. (Mat. 23. 24) Le cœur est tortueux par dessus tout, et il est méchant ; Qui peut le connaître ?
Comme une perdrix qui couve des œufs qu’elle n’a point pondus, tel est celui qui acquiert des richesses injustement. Au milieu de ses jours, il doit les quitter, et à la fin, il n’est qu’un insensé. Jér. 17. 9-11. La richesse injustement acquise accompagne l’insensé jusqu’au tribunal du jugement dernier. (Ecc. 12. 15-16)
Celui qui égare les hommes droits dans la mauvaise voie, tombe dans la fosse qu’il a creusée ; Prov. 28. 10
L’objectif de Dieu par la nouvelle Alliance
Dieu dit : Voici l’Alliance que je ferai avec la maison d’Israël : Après ces jours là dit l’Eternel, je mettrai ma loi au-dedans d’eux, je l’écrirai dans leur cœur ; Et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. Jér 31. 33
Dieu fera du reste de ce peuple, des chrétiens devenus enfants d’Abraham.
Car je l’ai choisi, afin qu’il ordonne à ses fils et à sa maison après lui de garder la voie de l’Eternel en pratiquant la droiture (sociale) et la justice, et qu’ainsi l’Eternel accomplisse en faveur d’Abraham, les promesses qu’il lui a faites. (Gen. 18 19). Un enfant d’Abraham fera les œuvres D’Abraham. Jean. 8-39.
Réveil et réforme : Si le réveil spirituel est l’oeuvre du Saint-Esprit, la réforme qui doit le précéder est l’oeuvre des croyants. Le message de Dieu adressé à l’église de Laodicée prouve que Dieu désire voir un changement radical dans la vie pratique de ceux qui se préparent pour le retour de Jésus. (Apoc 3. 14- 22)
Une réforme est possible à partir de la mise en valeur du droit infaillible
L’utilité de la réforme à l’église des derniers temps se trouve dans ces autres textes : Esa. 2 ; 42. 18-25 ; Apoc 18 ; Ps. 98. 7-9 ; 99. 4 ; 94. 15 )
Voici des propositions qui sont en rapport avec les œuvres justes des saints ( Apoc 19. 8) Dieu aime la justice et la droiture. (Ps. 33. 5 ; Héb. 1.8-9 ; Esa. 28. 17 ).
1°) La justice ou l’intégrité:
Reconnaître l’existence des prémices (1° dîme) dans tous les biens que Dieu donne, et faire des offrandes volontaires. C’est le droit perpétuel de Dieu. (Lév. 27. 30-34 ; Jac. 1. 16-18) Le père a offert son Fils « prémices » à notre race condamnée à mort.
2°) La droiture ou l’équité :
Avoir une dîme consacrée à la bienfaisance individuelle ou collective. C’est le droit perpétuel prescrit pour les nécessiteux. (Mat. 6. 1-4 ; 25. 31-40). La justice sans la droiture sociale est le levain qui développe l’égoïsme et la cupidité. (Mic. 3). C’est verser le sang des misérables. (Sira. 34. 24-27) L’argent et les richesses sont «pourris » lorsqu’ils sont acquis par frustration ou ne sont pas contrôlés par la loi infaillible de Dieu. (Jac. 5. 1-6.)
Conclusion : Si dans la parabole des dix vierges ; il y a cinq folles, les cinq sages comprendront les messages de Dieu dévoilés dans la Bible entière ; Dans les livres Apocryphes ; Dans toute écriture provenant des prophètes de Dieu ou des croyants qui parlent de la part de Dieu. Les « folles » manifesteront une grande opposition, de la colère et du mépris contre le deuxième canon ; Mais les sages recevront la lumière des Ecritures Saintes et s’en réjouiront. Elles en feront une provision pour leurs lampes. (Mat 25)
Le conseil de l’Esprit Saint transmis par l’apôtre Paul : Ne méprisez pas les prophéties,
mais examinez toutes choses et retenez ce qui est bon. 1 Thes. 5. 20-22
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