L’éducation Babylonienne opposée à la justice de Christ
Quand Abraham a exposé ses sacrifices devant Dieu
Les premiers venus n’ont pas été les anges des cieux,
Mais des oiseaux charognards attirés par le sang.
Le saint homme ne pouvait s’humilier en confessant,
Ni se recueillir silencieusement en présence du Très haut.
De son bâton agité, il menaçait vautours et corbeaux,
Veillant sur ses sacrifices, prémices aux vertus perpétuelles,
Il recevait pour ses descendants, le vaste territoire d’Israël. (Gen 15)
Avant lui, Noé avait reçu l’ordre de choisir des bêtes pures,
Afin de survivre par le sacrifice qui guérit de toutes souillures.
Sur une mer démontée, il perpétuait l’holocauste des prémices,
Recevant du Très Haut, l’héritage qui s’obtient par la justice. (Gen 7)
Hélas ! Quand nos ancêtres en Afrique, voyaient passer un avion,
Certains disaient voici les dieux qui nous apportent une bénédiction,
Ignorant que ces dieux emportaient les ressources de ce continent,
Vers des cités antisismiques où les tours s’élèvent jusqu’au firmament.
La plus antique des cavernes d’Ali Baba a été la ville de Babylone,
Par les trésors pillés des colonies elle y érigeait des taureaux en or.
Le vin de la fureur de son impudicité est aussi d’acquérir l’iniquité ;
Toutes les nations ont bu de ce vin, enivrées à l’école de l’avidité. (Ap 18 : 3)
Si un honnête coursier ne devient pas propriétaire de l’argent collecté,
Celui qui a la justice de Christ ne cautionne le profit d’aucune cruauté.
Les apôtres ne possédaient ni ne transféraient des biens à l’étranger ;
Si Saint Paul le pratiquait, c’était pour l’aumône légale à partager,
En faveur d’une église à Jérusalem, menacée par la famine,
Excommuniée par des religieux de la puissance qui domine. (2 Cor 8et 9)
Un auteur a écrit : « Les noms des oppresseurs sont devant Dieu,
Inscrits en lettres de sang, croisées de verges, inondées de larmes
Brûlantes, de souffrance et d’agonie ; Ses marchands se sont enrichis
Par la puissance de son luxe... Le produit de sa fraude s’est accumulé
Jusqu’au ciel. Payez-la selon son mode de payement et rendez-lui
Au double, selon ses œuvres. Dans sa coupe, versez-lui au double,
De tourment et de deuil, puis Babylone sera consumée par le feu ». (Ap 18)
Les larmes, les gémissements et les plaintes sont gravés devant Dieu. (Ez 2 : 8-9)
La blanche colombe, pureté de l’Esprit et de la justice de Jésus,
Plane encore sur ce monde, cherche des victimes qui désirent être élues.
Par la miséricorde divine des « corbeaux » changeront de plumage,
L’ivresse des acquisitions babyloniennes se dissipera comme un nuage,
Le sceau de la justice de Christ, apposé sur le front des vainqueurs,
Attestera la pureté des opérations et la légalité de toute valeur. (Ap 14 : 5)
La perle qu’est la justice de Christ, tel un beau vêtement immaculé,
Sera reproduite dans le caractère de ceux qui ont fui la cupidité.
Il est écrit : Tu seras une couronne éclatante dans la main de l’Eternel,
Un turban royal dans la main de ton Dieu. (Esa 62 : 3)
Comme la fiancée fait la joie de son fiancé, Ainsi, tu feras la joie de ton Dieu.
On ne te nommera plus, la délaissée ou la désolation ;
On les appellera peuple saint, les rachetés de l’Eternel. (Esa 62 : 1-12)
Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu.
Et il n’en sortira plus ; J’écrirai sur lui le Nom de mon Dieu, (Ap 7 :1-3)
Et le nom de la ville de mon Dieu, et mon nom nouveau. (Ap 3 : 12)
Sortez de Babylone, mon peuple ! Sortez du filet de l’oiseleur… (Ap 18 : 4)
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